119 projets
Traçabilité de l'éclairement UV au sol du rayonnement solaire (SolarUV)

Le projet européen, coordonné par le SFI-Davos (Suisse), a pour objectif le développement de méthodes de mesure de l’éclairement spectral solaire direct, diffus et global entre 290 nm et 400 nm avec une incertitude de 1 % à 2 % et de nouveaux instruments de mesure rapide de l’éclairement spectral (spectroradiomètres UV à TF) pour prendre en compte les variations rapides des conditions atmosphériques (durée de la mesure inférieure à 10 s et répétition inférieure à 1 min).

Produit dose-surface pour la radiothérapie : Application aux protocoles de traitements stéréotaxiques

Les protocoles de traitement par radiothérapie évoluent, d’une part, vers des tailles de champs d’irradiation de plus en plus petites pour se conformer au mieux au volume de la tumeur tout en sauvegardant les tissus sains environnants et, d’autre part, vers l’hypo-fractionnement, c’est-à-dire l’administration d’une dose de rayonnements plus importante délivrée en un nombre de fractions réduit (le débit de dose pouvant atteindre 12 Gy/min). Ces modalités de traitement réalisées avec de nouvelles machines sont rassemblées sous l’appellation de radiothérapie stéréotaxique.

Pureté des composés organiques

Les Laboratoires Nationaux de Métrologie (LNM) développent les outils nécessaires à l’établissement de la traçabilité des mesures au Système International d’unités (SI) et à l’évaluation des incertitudes qui leur sont associées pour rendre possible in fine une comparaison des résultats analytiques dans le temps et l’espace. Certains de ces outils sont des étalons de haute pureté, utilisés pour l’étalonnage des instruments de mesure.

Station autonome de mesures et d’intercomparaisons de références optiques de fréquences (SAMIROF)

Ce projet a pour but de mesurer de manière permanente des rapports de fréquence entre différents domaines du spectre électromagnétique, notamment entre le domaine miro-onde (réalisation de la seconde du SI) et le domaine optique (nouvelle génération d'horloges, candidates pour une base de nouvelle définition de la seconde). Il s'agit de mettre en place les moyens de comparaison des différentes horloges optiques du laboratoire, sans dégradation de stabilité ni d'exactitude, et d'assurer leur référencement aux étalons primaires par des liens optiques fibrés.

Étalonnage absolu de détecteurs à semi-conducteur entre 3 et 50 keV – Application à l’analyse X sans référence

Dans le cadre de ses activités d’amélioration de la connaissance de schémas de désintégration de radionucléides, le LNE-LNHB détermine des intensités absolues d’émission photonique, en s’appuyant sur des détecteurs étalonnés en rendement d’absorption totale. Ces étalonnages sont effectués au moyen de sources étalons avec des radionucléides dont les intensités d’émission sont bien connues et dont l’activité est déterminée par une méthode primaire. Dans la gamme d’énergie inférieure à 50 keV, il existe peu de radionucléides utilisables.

Métrologie pour la transmission future de l’énergie électrique

Ce JRP FutureEnergy porte sur l’extension des possibilités de mesure pour les très hautes tensions, pour favoriser l’utilisation des hautes tensions sur les réseaux de transmission de l’énergie électrique, en continu ou en alternatif, et ainsi réduire les pertes d’énergie lors de la transmission.

Mise en place de la méthode du temps de vol pour la détermination des références en énergie neutron et de la distribution en énergie de la fluence sur l’ensemble des champs d’AMANDE

L’étude de la variation de la réponse d’instrument de détection de neutrons en fonction de l’énergie est expérimentalement déterminée dans des champs neutroniques mono-énergétiques. Ces champs sont produits avec un faisceau de particules accélérées envoyées sur une cible neutrogène. La caractérisation de ces champs nécessite l’utilisation de détecteurs permettant de mesurer l’énergie des neutrons et leur fluence au point d’étalonnage.

Ponts numériques pour la métrologie des impédances

Ce projet a pour but d’élargir nos capacités de raccordement des mesures d’impédance électrique, tant du point de vue de la nature de l’impédance mesurée que du point de vue de l’incertitude de mesure, par la mise en place de ponts numériques de comparaison dans la chaîne de raccordement aux étalons nationaux quantiques de mesure électrique.